01. Cette photo est désormais exposée dans l’espace public au giratoire de Coppoz, sur la façade Est de la boucherie Delisle.

Photo non datée, on y aperçoit sur la droite la façade Ouest du Café Central, dont le 2ème étage était déjà pourvu d’un long balcon ; au milieu, on aperçoit la première section de la Route du Jorat ; et le tramway numéro 12 reliait alors la Place du Tunnel à Lausanne et Le Mont, avant de poursuivre par Cugy jusqu'à Montheron.

04. Cette photo est désormais exposée dans le hall d’accueil du bâtiment de l’Administration communale. Elle montre le tramway en provenance de Lausanne peu avant son arrivée à l’arrêt de Coppoz. La photo est datée « vers 1908 ».

14. Cette photo, non datée, montre deux bâtisses dont l’une, sur la gauche, accueillait en son rez-de-chaussée le bureau de poste PTT. Mais jusqu’à quand occupait-il cet emplacement ?

15. Cette photo, non datée, est antérieure à celle présentée dans l’espace public (photo 01) : la façade Ouest du Café Central ne possédait pas encore de balcon sur son 2ème étage. Quand est-ce que celui-ci a été construit ?

16. Cette photo, non datée, montre la bâtisse d’un atelier de cordonnier au bas du Chemin des Neuf-Fontaines, à l'actuel emplacement du parking entre le Café Central et la boulangerie Fleur de Pains. Mais quand a-t-elle été détruite ?

17. Autre photo, non datée, du Café Central.

18. Autre photo, non datée, du Café Central. À noter que l’enseigne est disposée sur le balcon et non sous le faîte du toit.

19. Autre photo, non datée, du Café Central. À noter que la route est désormais goudronnée, et que le véhicule représenté est une Ford Coupe Deluxe produite dès 1946. Il est donc probable que la photo remonte à la toute fin des années 1940’.

20. Cette photo, non datée, montre le Temple, dont la construction remonte à 1797, et l'ancienne Route de Coppoz, non goudronnée et disposée au même niveau que l'église alors qu’aujourd’hui elle est située quelques mètres plus haut. Classé monument historique en 1970, retrouvez plus d'informations sur le Temple dans cet article paru dans le journal communal du Mont-sur-Lausanne, "Au 4 coins du Mont", le 6 novembre 1975.

21. Cette photo, datée de 1920, montre l’édifice de la boulangerie-pâtisserie et de l’épicerie Schmid-Müller, dotée d’une terrasse. La bâtisse, rénovée, a désormais perdu sa terrasse. Située à la Route de Cugy 19, elle accueille aujourd'hui des bureaux de services, un atelier d'ébéniste-antiquaire et un studio photo.

22. Cette photo, non datée, montre la Cure, et prouve que tout a été mis en œuvre pour conserver ce bâti dans son état originel. Conçu par l'architecte lausannois Henri Perregaux avec un certain raffinement - cordon séparant les deux étages et tablettes moulurées des fenêtres, mais "sans luxe parce que le pasteur ne devait paraître ni trop riche ni trop pauvre afin de rester le plus crédible possible dans son rôle [auprès] de la communauté qui lui était confiée" (in "Les cures vaudoises", Monique Fontannaz, Lausanne 1987). Il accueille en 1835 son premier pasteur officiant et les catéchumènes.

23. Cette photo, non datée, montre un café non identifié, et probablement la famille des tenanciers et/ou quelques clients, sur le territoire communal. Où se serait-il situé ?

47. Cette photo, remontant au début des années 1950, montre l’intersection de la Route du Jorat et de la Route de Cugy, où pendant de nombreuses années les familles sont venues chercher leur pain et leurs gâteaux et autres pâtisseries. A cette même période, elle fut le théâtre d’un événement criminel qui alimenta la chronique et la vie montaine. A une date non définie, dans les années 1940-1950, le patron de la boulangerie avait été tué lors d’une dispute… Collection Pierre Dufour.

48. Cette vue large de l’actuel giratoire de Coppoz remonte à la fin du 19ème siècle. On y voit des familles endimanchées, probablement au sortir de l’office au Temple, passer devant le bâtiment qui abritait déjà le Café Central. Sur la gauche derrière les arbres, le bâtiment de la cure, et au loin à l’horizon l’intersection de la Route de Cugy et de la Route du Jorat. Collection Pierre Dufour.

49. Le Café Central, à la fin du 19ème siècle, offrait aux hommes comme à leurs montures une halte bienvenue pour se désaltérer après les longues montées depuis Lausanne. A l’arrière-plan, un cordon boisé délimite encore le plateau de l’actuelle place du Châtaigner, que l’on atteint à pied par la rude montée du Chemin des Neuf-Fontaines. Collection Pierre Dufour.

50. Prise depuis la côte menant aux falaises de molasse du Châtaigner, sous le cordon boisé, cette photo datée de 1961 montre l’emplacement de l’actuel giratoire de Coppoz. Le revêtement des routes est bitumé depuis peu, et on y distingue déjà le bâtiment de l’actuelle boucherie Delisle, le bâtiment de la cure, et les premiers mètres de la Route de la Blécherette. Collection Pierre Dufour.

51. Cette photo, non datée, montre l’édifice du Temple et derrière lui les terrains, dont une parcelle plantée d’un verger, qui accueilleront bien des années plus tard l’actuel site scolaire du Mottier. Une bâtisse imposante boucle l’horizon, sur l’actuel Chemin du Mottier. Collection Pierre Dufour.

52. En (ou vers) 1915, le haut de la Route de Lausanne avec sur la gauche l’ancien bâtiment accueillant La Poste, au centre le Temple, et à l’arrière-plan le cordon boisé délimitant le site du Châtaigner. Le tramway en provenance de Lausanne parvient lentement au bout de ses longs efforts de montée avant le premier replat qui s’ouvre dès le Café Central de Coppoz. Collection Pierre Dufour.

02. Cette photo est désormais exposée dans l’espace public sur la Place du Grand-Mont. Photo prise avant 1911, on y aperçoit au premier plan une bâtisse rurale sous le auvent de laquelle on remarque une fontaine ou un lavoir ; au milieu, la première section du chemin de Longeraie ; et à droite un bâtiment aujourd’hui disparu. Détruite, mais quand ?, cette bâtisse a laissé aujourd’hui sa place à un emplacement de parking.

24. Cette photo, datée d’avant 1906, montre la pension Villa Hortensia au Chemin de Longeraie, qui a cédé sa place à l’actuel EMS La Paix du Soir. Le bâtiment originel a été construit en 1830, et a subi d'importantes rénovations en 1839. Sa rénovation dans les années 1990 lui a fait perdre toute valeur architecturale.

Bel hôtel ayant attiré les touristes anglais de passage, il a été tenu jusqu'en 1896 par la famille Fleury, puis par celle de François Schmid jusque dans les années 1920, avant d'abriter un internat de jeunes filles avec une école ménagère. La Villa Hortensia a aussi accueilli, entre novembre 1945 et juin 1946, des rescapées des camps de concentration. L'une d'entre elles, l'écrivaine Charlotte Delbo, y commence le travail d'écriture de son ouvrage "Le convoi du 24 janvier". Collection Blaise Mivelaz.

25. Cette photo, datée d’avant 1890, montre la bâtisse rurale sous l'auvent de laquelle on aperçoit une fontaine dont l'installation remonte à 1866, qui faisait visiblement aussi office d’abreuvoir à bétail, et qu'il fut décidé de déplacer à son emplacement actuel en 1996 ; au centre le bâtiment de l’ancienne école du Grand-Mont ; et à droite, la première section du chemin de Longeraie.

53. Prise en 1923 depuis les hauteurs de l’actuel (et bien nommé) Chemin de Bellevue, on y découvre les champs céréaliers qui menaient au hameau du Grand-Mont, et on distingue au centre du cliché le clocher de l’ancienne école, et à droite probablement l’imposant édifice la pension Villa Hortensia. Collection Pierre Dufour.

54. L’hôtel-pension Villa Hortensia tel qu’il se présentait aux voyageurs en 1933. Deux arbres imposants bordaient alors le portail d’entrée, derrière lequel on distingue un jardin à la végétation abondante. Collection Pierre Dufour.

03. Cette photo est désormais exposée dans l’espace public à l’extrémité Nord de la Route des Martines, lorsqu’elle débouche sur la Place du Petit-Mont. Photo datée de 1912, on y aperçoit sur la droite une partie du bâtiment de l’ancienne laiterie, au centre l’ancienne fontaine de la place du Petit-Mont, et au second plan l’actuelle Auberge communale et sa terrasse en bois avec platanes encastrés. A remarquer la belle appropriation de l’espace public par la jeunesse de l’époque !

26. Cette photo, non datée, montre l’Auberge communale et son ancienne terrasse en bois. Tout à droite, une jeune femme probablement occupée à la fontaine aux travaux de lessive avec sa brante à linge retournée.

41. L'actuelle Auberge communale et sa magnifique terrasse, sur une photo datant du début des années 1910. Construite en 1842, son installation est liée au développement des voies de communication et du flux des échanges avec l'essor commerçant et industriel de Lausanne. Sa fonction d'auberge mais aussi de cabaret lui valait d'y rencontrer "...des voleurs, des receleurs et des prostituées... Pour preuve, les villageois nommèrent un garde de police qui veillerait au respect des bonnes moeurs et des horaires et éviterait tout débordement, et ce pour onze francs par an" (in "Le réseau des auberges vaudoises au XVIIIe siècle", Anne Radeff, Revue historique vaudoise, Lausanne 1991). Son appelation d'Auberge Confédérale change en 1914, année à laquelle elle devient Auberge Communale.

27. Cette photo, datée du milieu des années 1950, montre des jeunes enfants se rafraîchissant à la fontaine, preuve que les étés chauds existaient déjà… On aperçoit Bernard Chabloz avec le balai, de dos Jean-Charles Schwarz, assise sa soeur Elisabeth Corbaz-Schwarz, et Claire-Lise Jaquet. La fontaine, construite en 1924, fut déplacée dans les années 1960 et alors amputée d'un de ses bassins.

28. Cette photo, non datée, montre deux jeunes sportifs, Michel Chabloz et Jean-charles Schwarz, sur la Place du Petit-Mont lors d’un hiver particulièrement neigeux. Leurs skis sont équipés de la fixation Kandahar, mise au point dans les années 1930’ par la manufacture horlogère suisse Reuge.

29. Cette photo, prise vers 1915, montre l’intersection entre la Route de Lausanne et la Route du Petit-Mont. Des enfants saluent le passage du tramway, dont l’exploitation s’est arrêtée en 1951. À noter que le même tramway a changé de numérotation : de la ligne 12, il est devenu ligne 20 en 1930; puis les trolleysbus remplanceront le tramway au début des années 1950, les TL conservent la numérotation 20 jusqu'à son changement en ligne 60 après la construction du M1, en 1991.

30. Cette photo, datée de 1925, montre la pension Grau, un bâtiment centenaire magnifiquement préservé situé à la Route des Martines 17.

Ayant également porté le nom de Pension Bel Horizon, la bâtisse a été vendue au début des années 1960 à la congrégation catholique de l'Hôpital de la Trinité, alors propriétaire de la Clinique Bois-Cerf à Lausanne, qui en fit une maison de vacances pour ses bonnes sœurs, puis rachetée par un particulier en 1998.

On peut apprécier la forme de champignon du bâtiment, à la base duquel on distingue une structure en véritable pierre de Meillerie (Haute-Savoie), et en retrait du bâtiment la dépendance pour entretien de la parcelle.

Collection Bertrand Chenevard.

31. Photo non datée de la Place du Petit-Mont prise depuis le haut de la Route du Petit-Mont. La route est non goudronnée, et le véhicule est identique à celui de la photo 19, Coppoz, un modèle Ford 1946. On peut donc présumer que le cliché date de la fin des années 1940', et que le véhicule appartient au photographe lui-même !

32. La photo, datée très précisément du 03.10.1939, est prise depuis un champ situé entre la Route des Martines et le haut du Chemin de la Valleyre. On distingue tout à gauche le clocher du bâtiment jouxtant l'Auberge communale.

33. La photo date précisément de l'année 1907. On reconnaît l'actuelle Route des Martines et au loin le bâtiment de l'Auberge communale. Collection Elisabeth Corbaz.

34. La photo date précisément de l'année 1908. Elle est prise depuis un verger situé à l'extrémité Sud de la Route de Coppoz (le bâtiment de l'Auberge communale est caché par les arbres de droite). Collection Elisabeth Corbaz.

35.    La photo date précisément de l'année 1920, devant l'actuelle Auberge communale. Un document la légende ainsi : "De gauche à droite : Adrien Bovey, serrurier, domicilié en Martines ; une sommelière, sans nom ? ; Madame Guex, prénom manquant ?, et son fils William, né en 1915 ; Alfred Guex, aubergiste ; Albert Haengi, locataire de la forge ; Monsieur Borner, fermier aux Bergières à Lausanne ; et André Bezencon."

36. Vue aérienne du Petit-Mont datée de 1939.

37. Vue aérienne du Petit-Mont datée de 1960.

38. Vue sur le Petit-Mont depuis le Châtaigner datée de 1910.

39. Vue sur le Petit-Mont depuis le Châtaigner, non datée. Collection Elisabeth Corbaz.

40.  La photo montre la Place du Petit-Mont et l’actuelle Rue du Petit-Mont en 1906. Collection Elisabeth Corbaz.

42. Cette photo, datée de 1902, montre à gauche le haut du Chemin du Pâquis et le bas de la Rue du Petit-Mont, au milieu le tram et sur la droite le bâtiment de l'actuelle Route de Lausanne 45. Ce bâtiment accueillait un atelier de tapissier.

45. Cette photo, datée de l’été 1939, montre l’intense végétation proposant une ombre bienvenue aux clients de la terrasse de l’Auberge communale. Deux jeunes garçons devisent aux abords de la fontaine, ne se doutant certainement pas des événements désastreux qui conduiraient à la mobilisation générale quelques mois plus tard. Collection Pierre Dufour.

46. Fierté légitime de la commune, la Grande salle du Petit-Mont a vu le jour en 1955 et a permis à de nombreuses générations de vivre des spectacles et des événements communautaires propices aux échanges sociaux. L’esplanade d’accueil devant les escaliers menant à l’entrée a été repensée ultérieurement, offrant désormais à la population montaine une place conviviale où prolonger ces échanges lors des beaux jours. Collection Pierre Dufour.

05. Cette photo, non datée, montre le Chalet de la Ville de Lausanne, sur le territoire montain. Mais se situait-il au même emplacement que l’actuel Domaine du Chalet-de-la-Ville, au Chemin du Chalet 17 ? Et si oui, quand est-ce que le bâtiment représenté a été détruit pour laisser place à l’actuel corps de bâtis à vocation agricole ?

06. Cette photo, non datée, montre le Chalet de la Ville de Lausanne, sur le territoire montain. Mais se situait-il au même emplacement que l’actuel Domaine du Chalet-de-la-Ville, au Chemin du Chalet 17 ? Et si oui, quand est-ce que le bâtiment représenté a été détruit pour laisser place à l’actuel corps de bâtis à vocation agricole ?

07. Cette photo, non datée, montre les enfants en séance de lessive de ce qui est resté, aujourd’hui encore, le Home-Chez-Nous, structure d’éducation sociale avec internat gérée par l'Association du Châtelard, à la Route de la Clochatte 82.

08. Cette photo, non datée, montre les enfants dans l’espace jeux de ce qui est resté, aujourd’hui encore, le Home-Chez-Nous, structure d’éducation sociale avec internat gérée par l'Association du Châtelard, à la Route de la Clochatte 82.

09. Cette photo, non datée, montre une famille d’agriculteurs, probablement la famille Menétrey devant sa ferme située alors à l'emplacement de l'actuel Chemin de la Roche 18. La bâtisse a été construite entre 1843 et 1846, fut reconstruite en 1943 après un incendie, puis transformée et rénovée pour la connaître sous sa forme actuelle.

10. Cette photo, non datée, montre le hameau de Penau, et des bâtiments qui existent encore de nos jours grâce à diverses étapes de rénovation.

11. Cette photo, non datée, montre une famille d’agriculteurs, mais laquelle ?, occupée aux travaux des champs.

12. Cette photo, non datée, montre la maison de convalescence des Martines. Ce chalet, classé en note 4, est situé à la Route des Martines 74. Pas encore recensé sur les plans cadastraux en 1904, il a fait l’objet d’autorisations de transformation en 1975, 1977 puis 2012. Il héberge aujourd’hui un atelier de menuiserie, une agence immobilière et des habitations.

13. Sur cette photo, non datée, on comprend d'où l'actuel EMS Résidence Pré-Fleuri, en bordure immédiate du territoire communal mais sur la commune de Lausanne, à la Route de la Clochatte 12C, tire son nom...

43. Cette photo, non datée, montre le premier bâtiment de la scierie Menétrey tel qu'il était avant 1939, situé au pied de la colline de Sauvablin sur les rives du Flon. L'utilisation de la rivière est en effet attestée dans l'histoire de Lausanne, avec pour exemple la tannerie de la famille Mercier depuis le milieu du XVIIIe siècle, les moulins et abattoirs du Rôtillon, etc. Cette première scierie Menétrey voit donc le jour en 1869 à l'emplacement du Chemin du Bois-Murat 44, exploitée par Louis Lädermann et son gendre, Vincent Menétrey. Suite à l'avénement de la fée électricité, l'entreprise se déplacera en 1939, 500 mètres plus haut là où elle se trouve encore aujourd'hui. Collection Brigitte Demierre.

44. Cette photo, datée du milieu des années 1960 (on distingue l'arrière d'une Opel Admiral), montre la ferme que la fille du châtelain Chollet de Moudon, Catherine Elisabeth veuve d'une gentilhomme britannique William Gildart, fait construire à La Naz entre 1813 et 1814. Cette maison de maître abritait une habitation cossue et des pièces à vocation rurale.

La face occidentale présente une entrée centrale à laquelle on accède par un perron muni d'un escalier à deux rampes convergentes ; très différente, la façade orientale, montrée ici, est celle d'une grange avec remise et ses deux portes cochères au rez-de-chaussée. La fontaine au premier plan date de 1893.

La demeure se voulait ambitieuse et sa construction, due à l'architecte lausannois Henri Perregaux, à qui l'on doit aussi le bâtiment de la Cure, fut accompagnée d'une orangerie. Ces deux édifices, aujourd'hui séparés par le chemin de La Naz, font partie des monuments inventoriés d'importance régionale. Collection Brigitte Demierre.

55. Sur cette photo datée de 1949, le centre du hameau de Penau noyé de soleil, en témoigne la façade aux volets clos, où l’on voit deux jeunes femmes occupées au bassin de lessive alors que la fontaine au premier plan se prélasse dans un îlot de fraîcheur à l’ombre d’un grand arbre. Collection Pierre Dufour.

56. Sur cette photo datée de 1953, le hameau des Planches proposait encore à son entrée le Café du Nord, pour accueillir et désaltérer ses résidents mais aussi les voyageurs avant leur montée à travers la forêt en direction du Chalet-à-Gobet. Collection Pierre Dufour.